Renée SINTENIS (1888-1965) Chien couché Modèle
*Hors frais
Estimation : 2 000 / 3 000 €
Renée SINTENIS (1888-1965) Chien couché Modèle créé en 1928 Bronze à patine brune Signé du monogramme « RS » sur le dessous Porte le numéro « 3 » H. 4 x L. 16,5 x P. 5 cm Littérature en rapport : -Britta Buhlmann, Renée Sintnis : Wermonographie der Skulpturen, Darmstadt, Wissenschaftliche Buchgesellschaft, 1987, modèle répertorié sous le n° 98n p. 190 ; -Alexandra Demberger, Die Bilhauerin Renée Sintenis : zwinschen Freiheit und Moderne, cat. exp., Regensburg, Kunstforum Ostdeutsche Galerie, 2019-2020, Berlin, Edition Cantz, 2019. Ce charmant bronze figurant un chien couché s’inscrit dans la production animalière de Renée Sintenis. D’origine française, elle se forme à l’Académie du musée royal des Arts décoratifs de Berlin auprès du sculpteur Wilhelm Haverkamp. La jeune artiste puise son inspiration parmi les animaux attentivement observés au zoo de la capitale allemande. Sa notoriété au sein du milieu artistique berlinois l’amène à exposer régulièrement dans différents pays. Son œuvre, personnel et poétique, est très recherché par les collectionneurs de sculpture animalière.
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Antonuicci VOLTI (1915-1989) Femme lovée Circa 1
1 500 / 2 000 €Antonuicci VOLTI (1915-1989) Femme lovée Circa 1980 Bronze à patine argentée Signé « VOLTI » sur la cuisse droite. Porte la marque du fondeur « Susse Fondeur Paris » et numéroté « 1/6 ». Porte un poinçon losangique « S F » sur le talon du pied droit. H. 6,5 x L. 13,5 x P. 8 cm. Originaire d'Italie, la famille Volti s'installe en France en 1920. Antoniucci Volti étudie à l'École des Arts Décoratifs de Nice avant d'intégrer l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris et d'obtenir le second grand prix de Rome en 1936. Au lendemain de la Seconde guerre mondiale lors de laquelle il est fait prisonnier en Bavière trois années, le jeune sculpteur se détache de sa formation académique à l'instar des grands noms de l'art du XXème siècle tels que Picasso, Matisse et Maillol, et développe un style plus personnel. Sa principale source d'inspiration est la figure féminine. L'artiste explore le corps de la femme dans des attitudes diverses, parfois debout, assise ou encore allongée. À travers des lignes à la fois souples et géométriques, des formes voluptueuses et des visages structurés sur lesquels se dessinent des yeux en amande, Volti traduit un sentiment de sérénité, d'allégresse et d'harmonie.
Joseph CSAKY (1888-1971) Jeune femme et enfant M
1 500 / 2 000 €Joseph CSAKY (1888-1971) Jeune femme et enfant Modèle créé vers 1948, fonte posthume par l'éditeur Claude Valsuani à un seul exemplaire. Bronze à patine brune Signé « CSAKY » sur la base à droite. Porte le cachet « C. VALSUANI CIRE PERDUE ». H. 50,5 cm. Littérature en rapport : -Félix Marcillac, Csaky, du cubisme historique à la figuration réaliste, catalogue raisonné des sculptures, Paris, Edition de l'Amateur, 2007, modèle répertorié sous les n° c.1948-FM.288/a et c.1948-FM.288/b
Charles Alexandre MALFRAY (1887-1940) Tête de fem
1 400 / 1 800 €Charles Alexandre MALFRAY (1887-1940) Tête de femme Bronze à patine brun vert Signé « ch MALFRAY » sur le côté gauche du cou Porte « E. GODARD CIRE PERDUE ». Numéroté « 3/8 ». H. 24 cm. Littérature en rapport : -Jean-Baptiste Auffret, Eve Turbat, Charles Malfray 1887-1940, sculpteur, Paris, Ed. Galerie Malaquais.
Charles-Alexandre Malfray (1887-1940) Le Silence
1 500 / 2 000 €Charles-Alexandre Malfray (1887-1940) Le Silence dit La Boule Bronze à patine brune Signé des initiales « Ch. M » Porte le cachet « C. VALSUANI CIRE PERDUE ». Numéroté « 7/8 ». H. 28,5 cm. (Petites griffures à la patine, petit choc à la tête). Littérature en rapport : -Jacques de Laprade, Malfray, Paris, Ed. Fernand Moulot, 1944, pp. 17-17-18; -Jean-Baptiste Auffret, Eve Turbat, Charles Malfray 1887-1940, sculpteur, Paris, Ed. Galerie Malaquais. En 1904, Charles Malfray s'installe à Paris, à la Butte Montmartre, grâce à l'obtention d'une pension décennale de la ville d'Orléans. Il intègre l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts et fréquente les cercles des artistes d'avant-gardes. Mobilisé lors de la Première Guerre Mondiale, le sculpteur est témoin de l'horreur des tranchées. C'est à cette période qu'il sculpte une première version en bois du Silence qui lui sert de boîte à médicaments. Plus tard, Malfray édite en terre cuite et en bronze deux versions, l'une avec roc et la deuxième sans roc, à partir d'un modèle qu'il sculpte en terre en 1918. Cette œuvre s'inscrit dans le corpus sur le thème de la guerre de l'artiste. À travers cette figure d'homme recroquevillé sur lui-même, niché contre un roc assimilé à la paroi d'une tranchée, Malfray représente ici « l'idée d'angoisse et d'étouffement de l'homme acculé par l'horreur de la guerre ».Créez une alerte pour être au courant des ventes qui vous intéressent !
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